Le Dr Stinson, de l’Université de Caroline du Nord, a entrepris de constituer une vaste base de données répertoriant l’ADN des peaux constituant les manuscrits médiévaux. C’est un projet à long terme, qui permettra de déterminer la parenté des animaux utilisés, l’époque et leur localisation géographique d’origine. Chaque manuscrit pouvant comporter une centaine de peaux différentes, la matière première est abondante et les données recueillies seront à terme suffisantes pour permettre d’en tirer des résultats statistiquement fiables, sans doute beaucoup plus proches de la réalité que la méthode la plus répandue actuellement qui consiste surtout à étudier le style (graphique et littéraire) et la nature chimique des matériaux utilisés.
Bonjour Monsieur
Je voudrai vous demander quelques renseignements bibliographiques concernant les enluminures, les techniques et les relations entre matériaux employées.
Je suis en train de faire une formation en Archéomatériaux à Bordeaux 3.
Auriez-vous de la bibliographie sur ce sujet?
Merci pour votre réponse.
Bien à vous